— 130 —
Années économiques.
Personnel.
Recettes.
1848-1849 . .
. 89 . .
. fr.
178,092
1886-1887 . .
. 144 . .
333,837
1868-1866 . .
. 186 . .
482,881
1870-1871 . .
. 192 . .
493,291
Pour que l’on puisse mieux juger de ce qu’avait été notre typo-
graphie jusqu’à l’époque
à laquelle les
principes libéraux furent
implantés en Portugal, nous donnons ici une note de son personnel
et de ses recettes pour les années 1770, 1801, 1811 et 1832.
Années.
Personnel.
Recettes.
—
—
—
1770 .
. . 23 . .
. fr.
43,019
1801 .
. . 31 . .
67,888
1811 .
. . 46 . .
102,148
1832 .
. . 11 . .
96,000
A présent, la typographie comprend les dépendances suivantes : cabinet des protes et sous-protes ; trois grandes salles ponr la composition; celles de l’impression par presses manuelles; celle des presses mécaniques et de la machine à vapeur; dépôts du matériel ; écoles de composition et d’impression ; cabinet des correcteurs ; ateliers de satinage et de glaçage du papier, de reliure, de brochure, et plusieurs autres pièces. A ces différentes sections, appartient le personnel indiqué, comprenant : protes, sous-protes, maîtres et contre-maîtres chargés des divers services, 10; compositeurs, 81 ; correcteurs, 8 ; imprimeurs, 48 ; apprentis de composition et d’impression, 22 ; relieurs, brocheurs et ouvriers de l’atelier de satinage et glaçage, 17; charpentiers, constructeurs d’ustensiles, autres employés et hommes de peine, 12. De ces ouvriers, 78 travaillent à la journée et 114 aux pièces.
La moyenne des fériés de chaque semaine, en 1870-1871, a été de 4,246 francs, le maximum du salaire étant à peu près de 12 fr. et le minimum de fr. 2-80.
Dans ces diverses sections, il y a constamment en exercice 3 presses manuelles (Stanhope) anglaises, 8 françaises, des mécaniciens Gaveaux, Nicolais et Capiomont et Dureau, de Paris, 2 colom-
-O