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et, posant 2 g = c

cT = ( -L Q ) ce* Qx'*

\sm* w /

Si nous assignons une valeur à Q, les seules variables sont T, w, x et x'. En donnant une valeur à a?', il ne reste que 3 variables ; et, si nous remarquons que, pour une valeur déterminée de w, nous connaissons la position du piston et, par suite, la valeur de T daprès les fi g. 1 et 1', nous voyons que les variables sont réduites à « et x.

Faisons pour un moment Q = 5000 kilog. 1 et x' = 0 m 50.

Pour w = 10°, nous aurons x = 0 m 835

w = 20°, » œ = l m 222

et ainsi de suite.

Représentons (fig. 2) les valeurs de x en les portant sur les rayons de la manivelle faisant avec la ligne des points morts les angles supposés de fj) ; nous obtenons pour x les valeurs représentées par la courbe mar­quée a.

Si nous supposons x' = l m , nous obtenons les valeurs représentées par la courbe b. Et ainsi de suite.

En développant (fig. 3) la demi-circonférence parcourue par le bouton de manivelle, suivant la ligne droite AB, et portant les valeurs de x' et de x comme ordonnées, nous obtenons les courbes a, b, c, d , e, f, plus aisées à saisir.

Nous avons procédé sur chacune de ces courbes pour en déduire la vitesse moyenne ou plutôt le nombre de révolutions auquel chacune delles correspond. Les moyens employés pour atteindre ce résultat seraient trop longs à développer ici, et nous nous bornerons à dire quon peut les obtenir avec une très-grande précision.

Connaissant la vitesse moyenne, nous connaissons le nombre de révolu­tions auquel correspond chacune des courbes tracées, en supposant, bien entendu, que nous ayons opéré de la môme façon pour la course descen­dante.

La formule

x = V sin w

f. A partir de ce moment, au lieu de supposer que Q représente la masse du volant ramenée au bouton de manivelle, nous supposons cette masse ramenée k un diamètre de 8 mètres.