Pensant qu’au Havre, comme en Angleterre, en Amérique et dans presque tous les grands centres commerciaux, un négociant, croyant avoir des idées de nature à intéresser ses concitoyens, trouverait à les leur communiquer par la voie de la presse quotidienne, j’avais écrit ces lettres pour être publiées dans le Journal du Havre.
Monsieur le Rédacteur en Chef de ce Journal est venu me rapporter la première, en m’exprimant, dans les termes les plus obligeants, son regret de ne pouvoir ouvrir ses colonnes à des observations critiques sur la Société pour le Percement de l’Isthme de Suez.
Frédéric de CONINCK.
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